Une approche personnalisée fait notre force, c’est la clé de la réussite dans toute intervention humaine.
Il n’est pas possible d’appliquer toujours les mêmes règles, les mêmes remèdes, les mêmes outils à tous.
Nos parcours de vie étant uniques, notre approche se doit forcément de l’être également.
En conséquence nous faisons du « sur mesure » afin de répondre au mieux aux besoins respectifs des personnes en tant qu’individu.
Cette approche est axée sur les attentes et capacités de chacun.
Peu importe si vous êtes un salarié, un manager ou un ceo, nous prenons le temps de comprendre et analyser votre situation et vos enjeux.
Nous vous accorderons une attention particulière et tenterons de trouver ensemble la meilleure solution pour vous.
La déontologie fixe les règles et obligations dans les relations entre les professionnels et les personnes sollicitant leurs services et entre les professionnels et les institutions.
Code de déontologie du Médiateur
Le Médiateur agit dans le cadre de la loi et le respect des personnes. Il doit maintenir sa position de tiers et vérifier, en permanence, que les conditions éthiques et déontologiques sont respectées tout au long de la médiation.
Le Médiateur doit avoir suivi, et posséder, la qualification spécifique à la médiation, en fonction notamment des normes ou critères d'accréditation en vigueur.
Le Médiateur doit être détaché de toute pression intérieure et/ou extérieure à la médiation, y compris lorsqu’il se trouve dans une relation institutionnelle. Pour ce faire, le Médiateur s'engage à refuser, suspendre ou interrompre la médiation chaque fois que les conditions de cette indépendance ne sont pas réunies.
Le Médiateur accompagne le projet des personnes, sans avoir lui-même de projet pour, ou à la place, des personnes.
Le Médiateur s'oblige à ne pas prendre parti ni privilégier l'une ou l'autre des parties. Il s'interdit d'accepter une médiation avec des personnes avec lesquelles il a des liens d’ordre privé, professionnel, économique, de conseil ou autre.
Le Médiateur s’interdit par éthique de remplir des fonctions de représentant ou de conseil de l’un et/ou l’autre des participants au processus de médiation. Il ne peut d’avantage être arbitre ou imposer une solution.
Le Médiateur ne divulgue ni ne transmet à quiconque le contenu des entretiens et toute information recueillie dans le cadre de la médiation, sauf obligation légale et risque de non respect de l'ordre public. Le Médiateur ne peut notamment pas faire état devant les instances judiciaires des éléments dont il a eu connaissance lors de son intervention.
Le Médiateur doit veiller à ce que le consentement des personnes soit libre et éclairé. Il refusera toute mission où le consentement peut être altéré. Il s'oblige à donner des informations claires et complètes sur les valeurs et principes de la médiation ainsi que sur les modalités pratiques de celle-ci. Il doit vérifier que les informations données ont bien été comprises.
Il informe les personnes de ce que, tout au long du processus de médiation, elles ont la possibilité de prendre conseil auprès de différents professionnels ou d’interrompre celle-ci librement.
Les 4 principes déontologiques du Coach :
Principe de confiance
L’accompagnement ne peut avoir pour objet que le traitement de situations professionnelles et pas de situations personnelles.
La démarche et les outils auxquels a recours l’accompagnateur doivent avoir fait l’objet d’un accord de l’entreprise.
La détermination des informations restituées à l’entreprise doit avoir fait l’objet d’un accord de l’accompagné.
Principe de complicité
L’accompagnement doit répondre à une attente de l’accompagné et ne peut pas lui être imposé quand elle ne vient pas formellement de lui.
L’accompagnement doit se faire en référence aux métiers, à la culture et à l’environnement de l’entreprise.
Un contrat doit être établi entre accompagnateur, accompagné et demandeur de l’accompagnement.
Le paiement de l’accompagnement est effectué sur le budget du demandeur effectif.
Principe de lucidité
L’accompagné, sur des faits énoncés par lui ou par d’autres, doit apprendre à se poser les bonnes questions.
L’accompagné, sur des perceptions exprimées par d’autres ou par lui, doit parvenir à adopter : d’autres regards (savoir-voir), d’autres attitudes (savoir-être), d’autres décisions (savoir-faire), que ses regards, ses attitudes et ses décisions habituels ou naturels.
Principe d’authenticité
L’accompagné doit réduire l’écart entre les faits et sa perception des faits, entre ses paroles et ses actes.
L’accompagné doit mettre en cohérence les actions qu’il mène et les résultats qu’il mesure à l’aide des indicateurs de réussite dont il s’est doté.
L’accompagné doit aller le plus loin possible dans la mise en cohérence de ses objectifs professionnels et de ses aspirations personnelles.